Oui, on peut évidemment prendre 1 sur les dK de circonstances. Juste que comme ils ne passent pas de mains en mains, ça ne change rien de dire +1 ( mais qui est un take 1 de dK de circonstances) ou +1 ( au pif). Le bonus est le même sauf que d'un côté, tu intègres le concept de dK de circonstances et que dans l'autre cas, tu te limites à dire que le meneur balance des malus et des bonus en fonction des circonstances. (.... MMmmmmmm, c'est pas clair.... ). Disons que je garde le fond mais que je vire le cosmétique car dans l'optique 3d6, ça ne se justifie plus ( sauf pour rester au plus près du dkool ( ce qui est tout à fait respectable)). Bref, on est d'accord, c'est juste que pour moi, si on fait toujours du take 1, ça sert à rien de parler encore de dK de circonstances. Autant directement parler en bonus/malus direct. Ca encombre moins les cases mémoires des joueurs qui connaissent le d20 et pas le dK. Mais je suis parti du principe que c'était pour des joueurs qui ne connaissent pas forcément le dK, ce qui est peut-être un tort.
Pour le pool de dK limité, je ne prendrais pas la méthode Khaos ( en fait, ca dépend, est-ce que le conteur commence avec des dK? Si non, je persiste et signe...). A première vue, et c'est théorique, soit tes joueurs vont y aller franco sur les dk ( et là, le médiéval pur, bof bof...) ou ils vont radiner ( et tu perds le côté sympa du dK). Perso, je trouve que le conteur doit commencer avec des dK au départ pour pouvoir lancer la mécanique d'échange ( du moins, à ma table, c'est comme ça). Bref, oui pour la limitation du nombre de dK, à voir pour la répartition à la table. Moi, tant qu'il y en a dans le pot du conteur, je pense que ca va. Même pas beaucoup, mais il faut un minimum pour provoquer un chouilla... Et aussi pouvoir sauver ce que tu ne pensais pas devoir sauver.