Bonjour les Tough Guy
Je me lance dans l'expérience du jeu de convention samedi prochain, et j'aurais besoin de vos retours concernant les prêt-tirés pour le scénario Hellywood que je propose. J'en ai 4, je n'ai pas encore bien définit leur nature, même si elles ressortent un peu dans leur background respectifs.
Que dois-je améliorer ? Est-ce trop long ? Pas assez de pré-tirés ? Allez-y lâchez vous !
(C'est brute de décoffrage, désolé pour les fautes )
John S. Mercer, ex flic casser par les affaires internes
« Tu étais l’un des meilleurs flics de la brigade des Mœurs du central HHPD. Tes partenaires te respectaient, tu faisais partis du groupe. Sauf qu’un soir tu as commis la pire connerie de ta vie : tu t’es mêlé d’une altercation qui ne te regardait pas. Une pute qui aller de faire rossée, sa arrive tout les jours, alors pourquoi ce soir là tu t’en es souciés plus qu’autre chose ? Tu te rappelles de son visage qui te demandais de l’aidée. Tu sais que t’as attrapé le colback du type et coller un une-deux pour le compte. Il s’est tiré, mais la fille a claqué devant tes yeux. Elle a juste eut le temps de souffler un nom. Ce nom tu le connaissais.
T’as mené ton enquête de ton côté : tu as découvert que tes « amis » étaient loin d’être aussi clean qu’ils le laissaient entendre. Le nom du type cachait un trafique juteux entretenue par quelques flics de ta brigade. Tu as essayé de les coincés, avec l’aide de Franck Quaester, l’ancien avocat du DA. Mais au moment ou vous avez alliez poser le dossier de preuves sur le bureau du lieutenant des affaires internes, il en a sortis un autre. Il portait sur toi. Sur des magouilles de jeunesses, quand tu n’était qu’un sergent dans un district. Un truc que tu pensais avoir oublier. C’est toi qui est tombé a leur place. Tu as rendu ton badge, ton flingue et ta carrière s’est brisé comme une vitre.
Maintenant tu as un bureau miteux de détective privé dans Natividad. Tu sais que le patelin sera mort d’ici six mois, et tu ne sais pas ou tu vas aller crécher. Tu survis en vendant des infos à des canards en mal de scoops (Whisper est le premier). Tes enquêtes t’emmene dans des endroits ou tu n’as jamais eut l’idée d’aller fricoter. Mais tes compétences de flics t’ont tiré d’affaire plus d’une fois. Tu bosses souvent avec Quaester, Brown est un de tes informateurs dans le milieu du jazz et le Mc Phillips (que tu surnomme le « brisquard) sais comment roule le monde des hommes de mains, c’est un atout de choix quand tu a besoin de lui pour descendre dans les endroits chaud ou même avec une plaque de flics tu ne pourrais jamais passer… »
Bryan « Brown » Malcolm, jazzman noir
« Être un noir a Heaven Harbor, c’est ne jamais sortir d’Aisbury Parks ; Le quartier en guerre tu l’as connu, c’était a l’époque ou Mickey Ballantines, l’écossais est venu posé ses valises et que Ray Constance, alors le nouveau parrain n’as pas apprécié qu’il pose ses marques. Bref tu as du choisir ton camps. Ta jeunesse a pu jouer en ta faveur, car Constance t’as évité d’aller mourir sous les balles. Ton frère n’as pas eut cette chance. C’est a ce moment que tu as commencer la musique. Lorsque tu t’es présenter avec ta contrebasse, avec ta frêle carrure, beaucoup croyait que tu allais ployer sous son poids. Mais tu as tenu. Le plus beau « bœuf » de ta jeune carrière…
Il y avait un autre artiste : un blanc. Il t’as demandé si tu voulais faire partie d’un groupe, tu n’as pas hésiter une minute. Aujourd’hui tu cachetonnes au sein du « Peter’s Quartet Blue », entre Aisbury Parks, la Forbidden City et quelque club de Carnelly Hill. Prochainement tu sais que tu vas jouer au Mike theater, le Quartier général de Mickey Ballantine. Tu sais que Ray Constance a demander a te parler. Tu ne sais pourquoi.
Être Jazzman c’est vivre en noctambule, et les rencontre sont parfois plus nombreuse que de jour : tu as rencontrés Mercer lors d’une de ses investigations, il était encore flic. Il cherchait un artiste et tu le connaissais. Il t’a embarqué dans ses recherches, vous avez finit par le retrouver, a 5 heures du matin, en mauvaise posture, la seringue dans le bras. Mercer a couvert l’affaire : le gosse était d’une famille huppé de Remington Heights. Sans le savoir tu étais devenu un de ces « informateur-collègue » ; car tu connais bien le monde de la nuit et ce qui s’y trame, sans toutefois y participer. Avec le temps, tu as rencontré Quaester. Ce type te file la frousse avec sa figure cireuse. Mc Phillips, tu ne lui cause pas plus que ça : tu n’as pas oublier ses remarques racistes la première fois et tu sais que tu ne chercheras jamais des noises à un type avec des mains qui font la taille de ta contrebasse… »
Franck Quaester, avocat marron et invocateur en free-lance
« Tu aurais pu rester un obscur avocat du barreau d’Heaven Harbor, dans un cabinet de seconde zone ; Mais après un procès gagner au bout d’une longue plaidorie, le district Attorney Gordon t’as accosté : il avait vu en toi un diamant brut avec des talents sous-exploités. Il t’as fait entrer au sein du bureau du D.A. As toi la charge d’instruire des affaires, de pourchasser les criminels en justice, et de les confronter avec les preuves ramenés par les flics. Tu faisais ça très bien, jusqu'à ce qu’un jour, Mercer et toi n’ayez rien.
Le type était coupable, mais cachait ses preuves, avec un alibi béton. Tu te rappelles de cette nuit parfaitement : tu avais bu, tu regardais les photos de la gamine que tu savais qu’il avait lardés de 6 coups de couteau. Tu ne comprenait pas qu’il s’en sorte, tu ne voulais pas qu’il s’en sorte. Tu l’as pensé avec une telle force. Alors une chose étrange s’est produite : ta lampe a tressauté avant de péter. L’instant d’après tu as fait face a un type qui n’était pas là il y a deux minutes : il s’est présenter comme un représentant de Mr Clay. Il était disposé à t’aider contre une contrepartie d’informations sur des affaires en cours. Il t’a promit de quoi le coincés pour toujours. Tu lui a donné ce qu’il demandait, il t’a filé du lourd : rapport psychiatrique, deux états de violence coups sur coups. La chose a souris puis disparue. Ta lampe s’est rallumée toute seule.
Le type a effectivement tout avoué. Mais lors de son transfert, il a étranglé un agent chargé de l’escorter et a disparus. Selon le rapport, il avait un serein sur lui. Tu es pourtant sur qu’on l’avais fouillé. Tu as de nouveau fait appel a la chose, tu en appris plus sur lui. C’était un Démon, bossant pour un Asservis, Mr Clay. Tu étais devenu un invocateur, un homme qui passe des contrats avec les « créatures infernales » comme racontait Whisper’s. Tu as appris qu’il y en avait plus d’un, notamment Mr Johnson, Pieces, mais tu ne sais pas pas plus sur eux. L’autre que tu connais, c’est un démon, mais sont le maitre n’as pas passé dans notre dimension. Tu pressens qu’il est beaucoup plus dangereux et qu’il cache des choses…
Ta déchéance n’est pas venue par là, mais par le soutien que tu as apporté à Mercer lors de son affaire. Cette fois-ci aussi tu as appelé un démon de Clay pour essayer d’aider le flic. Il t’as alors dit que sa couterais cher pour éviter la taule, très cher. Tu n’imaginais pas que sa te couterais ta carrière. Gordon t’as viré a la suite de ce soutien, inacceptable de la part d’un membre du bureau.
Depuis tu « survis » en jouant les avocats commis d’office pour des voyous et autres petite frappes. Tu utilise toujours Clay, en sachant qu’il n’hésitera pas a te mettre dans le merde. Tu bosses toujours avec Mercer, qui as monté une boite de privé. Tu n’oses pas lui dire ce que tu as fait, ni même ce que tu as sur lui. Car un matin tu as trouver un dossier sur Mercer dans ta boite au lettre, un cadeau d’un « ami » : Mercer a fait des choses beaucoup plus graves que ce que tu croyais… »
Todd Mc Phillips, nervis en bout de course
« Tu es un homme de main comme parmis tant d’autres a heaven harbor. Mais auparavant tu étais « L’homme de la situation » ! Celui que les riches appelaient a 4 heures du matin pour aller cacher un cadavre dans les Fields, reliquat d’une aprtie fine un peu trop hard.
Tu as cassé pas mal de genoux, de doigts dans ta carrière, sortis beaucoup de personnes de situation de merde. Tu avais plusieurs titre : homme de main, bodyguard, mais c’était surtout le mot nervis qui revenait le plus souvent. Tu palpais bien, mais tu claquais tout en jeux, costumes, bagnoles et en filles. Tu brûlais des tronches, comme tu brûlais ta vie.
Et puis un jour, il y a eut LA fille. Tu la voyais en une énième poulette dont tu allais t’entichés. Sauf que rien ne s’est passé comme prévu. Tu t’es accrochés a elle ; et c’était réciproque. Tu as fait le compte : tu avais fait le tour de cette vie a servir. Tu avais du cash de côté pour monter ta boite de sécurité, offrir à la petite un nid, et filer le parfais amour.
Tu te berçais d’illusion : ton ange était aussi avec quelqu’un. Et pas n’importe qui, ton plus gros employeur. Tu ne le sais comment, il l’a su. Tu as retrouvé ton ange charcuté dans une chambre d’hôtel grand luxe, avec lui à côté qui te demandais de débarrasser le plancher avec le corps. Tu as tout lâcher : tu lui as fait passer le goût de te prendre pour un larbin. T’en as rajouté une couche pour ton ange, et une autre pour la forme. Le type as bouffé a la paille pendant 6 mois. Et toi t’en as pris pour 12 ans à Santa Esperanza : le prix a payer pour t’avoir rebeller face aux chefs…
A ta sortie, tu t’es trouvé sans rien, a part un peu de fric, tes frusques. La ville avait changer dans son ensemble, mais a l’intérieur c’était la même : toujours des mecs qui lavaient les merdes des autres. Tes anciens collègues ne te reconnaissaient plus ou ne voulaient plus te voir. Tu étais grillés. Pas moyen de trouver un job correct, tu as pourtant chercher. Tu as alors fait ce que tu savais faire de mieux : l’homme de main.
Bryan Malcolm tu l’as rencontrer la première fois alors que tu cachetonnais pour Ray Constance : tu étais pétris d’idée raciste, mais pour bouffer tu as fermer ta mouille. Mais mine de rien tu t’es pris une claque lorsque le gosse à jouer. Sa avait beau être un noir, tu as apprécier son style de jouer. Quaester t’as permis d’échapper a la taule un bon paquet de fois, c’est ton avocat, même s’il a de drôles de moyens pour avoir des informations. Mercer, tu lui as péter la gueule. Et réciproquement. C’est lorsque vous avez compris que vous cherchiez la même personne que vous avez commencé à bosser ensemble. Tu utilises toujours ta force, même si avec l’âge, sa commence a te peser, mais tu peux te dire que tu as encore quelque ressources avant de passer le paletot a gauche. De toute façon, tu es sur de mourir dans une rixe. Mais il te reste une dernière chose a régler : en finir une bonne fois pour toute avec ton ex-employeur. »