Je me sens d'humeur à déterrer des vieilleries alors je creuse.
Suite à l'excellent dKrunch du dK2, le fait que le MJ ne lance plus de dés est possible.
Et là, paf, je me questionne sur une autre règle issue d'ici ( qu'Islaire connait bien pour être à la base de cette découverte pour moi) : . Il s'agit du dé virtuel. Je pars de 10 et le conteur ajoute des poins ( avec un maximum de 10) sur base de mon roleplay. Bref, un joueur a toujours entre 10 et 20. Ce nombre étant déterminé par son RP. Le RP remplace le d20, pour être synthétique.
1. Il me semble que les deux idées sont inconciliables (c'est d'ailleurs une des remarques dans le dKrunch). le joueur ayant toujours un nombre de départ fixe (10), il peut se retrouver dans une situation où il gagne systématiquement dans un jet d'opposition ( ses modificateurs sont simplement supérieurs à ceux de l'opposant qui lui, dans ce dKrunch, a également un jet fixe). C'est c.., j'ai l'impresssion que ça y gagnerait à concilier les deux approches ( ou pas...
). Une solution?
2. Toujours dans cette logique de ne plus faire jeter des dés au MJ mais de donner de la place au RP, est-ce que l'idée suivante est potentiellement intéressante? Le joueur et le personnage ont une base fixe de 5. Sur base du RP, le joueur "reçoit" de 1 à 15 points. La différence entre ce résultat et 15 est mise sur le compte du personnage opposé. L'exemple plus parlant que le texte: Bob explique la splendeur de son attaque avec emphase, il reçoit un 11 pour son RP. Soit une côte de 16 ( 5 + 11) à son jet de dé virtuel. Le personnage opposé reçoit 9 ( soit 5 + (15 - 11)). On peut évidemment faire varier la base fixe de 0 à 10 plutôt que la mettre à 5. L'avantage est de renforcer l'intérêt du RP dans le jeu et également d'enlever la gestion des dés pour le conteur.