Muad'Dib a écrit:1. Il me semble que les deux idées sont inconciliables (c'est d'ailleurs une des remarques dans le dKrunch). le joueur ayant toujours un nombre de départ fixe (10), il peut se retrouver dans une situation où il gagne systématiquement dans un jet d'opposition ( ses modificateurs sont simplement supérieurs à ceux de l'opposant qui lui, dans ce dKrunch, a également un jet fixe). C'est c.., j'ai l'impresssion que ça y gagnerait à concilier les deux approches ( ou pas...

). Une solution?
Yop.
Tu te prends beaucoup trop la tête

La règle additionnelle du dKrunch qui interdit aux joueurs de prendre 10 si le MJ ne lance plus de dés n'existe que pour éviter une seule situation : la domination irrémédiable du joueur lors d'une résolution en opposition par jets successifs (aka le combat dans la majorité des cas).
Si Bob fait 9 au D20 et touche quand même Gronch le Troll alors le joueur de bob ne va plus que "prendre 10" et transformer une probabilité de toucher de 55% en probabilité de touche a 100%
Et ça c'est MAL.
Mais sur un jet unique les deux méthode sont largement compatibles : si Bob veut tenter de battre aux échecs le mysterieux Inigo Mc Cain et que le joueur est suffisament en confiance pour "prendre 10" sur son jet de connaissance (echecs), tant mieux pour lui. Il gagnera ou perdra uniquement en fonction de sa maitrise nette par rapport a Inigo.
Autrement dit il n'y a problème que si l'action se résout sur plusieurs jets.
Donc, a mon sens, il n'y a véritablement incompatibilité avec le principe du Dé virtuel tel que le présente Ben Robbins que si on applique un autre dKrunch, celuid e combat verbal étendu.
Dans ce cas, la solution est simple : tu fais sauter la règle optionnelle de "take 10" et tu fais un bras d'honneur a ben robbins en notant ton joueur de de 1 a 20 (et non plus de 10 a 20).
Concretement je pense que tu vas te retrouver avec deux cas de figure : les joueurs qui savent que leur roleplay est pourri demanderont a lancer le dé et les joueurs qui savent que leur roleplay est bon tenteront le coup du dé virtuel.
Reste évidemment le cas du "joueur boulet" persuadé d'être un redoutable roleplayer alors qu'il n'est bon qu' Roll-player (si j'ose dire).
Voila, voila.